Sergeï Flerick

Nom: Flerick
Prénom: Sergeï
Surnom: Il n'est pas trop tard pour m'en trouver.
Âge: 30 ans
A quel groupe appartenez-vous?: Pirates
Travail: Capitaine
Si vous êtes Capitaine, quel est le nom de votre navire? La Rose blanche


Caractère: Je suis un bon pirate, qui aime les femmes, l'alcool, l'aventure, la liberté et la mer. Je ne vais pourtant pas dans les extrêmes comparé à certains de mes compères. J'ai un sérieux problème avec l'autorité, ça vous devez vous en douter mais ça tombe bien parce que l'autorité a un sérieux problème avec moi. Je suis quelqu'un de très direct, j'estime ne pas avoir besoin de m'abaisser à une stupide hypocrisie pour pouvoir me faire entendre. Je suis noble de coeur et très lié à mon honneur ce qui peut parfois me rendre colérique et arrogant. Nul homme n'est parfait et je n'échappe pas à la règle. J'ai pourtant conscience d'être peut-être meilleur que certain qui se dise faisant parti de l'élite. Débrouillard, j'ai moi-même aprivoisé la mer en étant mousse sur des navires marchands. ça ne me rajeunit pas mais ça me rappelle à quel point j'ai dû m'endurcir pour y arriver. En choisissant de devenir pirate, et qui plus est en devenant Capitaine, j'ai dû tirer profit de tous mes atouts pour échapper à la flotte royale... car je suis bien plus à l'aise sur mer que sur terre et c'est ce qui m'a valu mon séjour en prison. Je suis cependant optmiste et tant que je ne pend pas au bout d'une corde, je sais profiter de la vie sans jamais manquer de courage.

Physique: Je suis le code vestimentaire de mon époque. Je ne suis pas des plus riches, ni des plus pauvres alors je peux tout de même choisir la qualité... surtout quand je sors à terre car sur mon bateau, je peux bien me promener torse-nu, ça n'a que peu d'importance du moment que le travail est bien fait. Je porte une chemise de lin blanc assez large et échancré sur ma peau hâlé. Dessus, une fine veste de cuir gris/noir un peu usée. Je porte un pantalon de toile noire et des bottes hautes et sur ma tête, mon fameux tricornes.
Je bénéficie d'un air virilement mâle dû sans doute à ma mâchoire anguleuse, mes sourcils épais et mes traits fermes. Ma peau est bronzé en raison de mes longues expositions au soleil, mes cheveux long et noir, attaché par un ruban de soie pour ne jamais me gêner. J'ai l'habitude de porter une barbe de trois jours qui me vieillit de quelques années sans que ça ne casse mon charme et un certain charisme et mes yeux sans doute mesdames, seront la chose qui vous feront le plus rêvées. Ce sont deux billes noires scintillantes, l'iris se démultipliant en un étalement de teintes grises jusqu'à atteindre le noir de la pupille. Mes lèvres sont charnues et le sourire mutin qui s'y dessine parfois et enjôleur à souhait.

Signes particuliers:
_ Je suis marqué au fer rouge au niveau du coeur pour avoir séjourné dans la prison de Tristecollines. Ma captivité n'aura duré que quelques mois, le temps que je trouve la faille pour m'évader et reprendre mes biens.
_ Je signe tous mes méfaits d'une rose blanche que j'abandonne sur le lieu de mon crime.
_ Je possède un familier: C'est une pie nommée Térésa, du nom de ma mère.

Armes: Pistolet à silex, rapière et coutelas... je suis un homme qui vis avec son temps et qui pense que deux précautions valent mieux qu'une.

Histoire: Mon histoire est banale et je pense que vous risqueriez de vous ennuyer en la lisant. Comme tous, j'ai été petit garçon, le fils d'un docker. Le travail ne manquait pas pour mon père qui déchargeait les navires les uns après les autres et j'ai souvenir que moi et ma mère, nous l'attendions dans la petite maison en bord de plage que nous avions réussit à acheter. Comme mes camarades, j'allais à l'école et le soir, je passais par les dock pour voir mon père. Je me souviens que la terre a tremblé et qu'une grande vague a frappé les dock sans faire grands dégats. Les dégats étaient ailleurs... En rentrant le soir, nous n'avons jamais retrouvé notre maison, ni même la parcelle de terre où elle se trouvait... mais le pire dans tout cela, c'est que je n'ai jamais revu ma mère non plus. Mon père m'a dit qu'elle avait été emporté par les flots et pourtant, il m'arrive encore de croire qu'elle s'en est sorti, qu'elle est quelque part et que pour une raison quelconque, elle n'a pas essayé de me recontacter.
J'ai grandi avec ce doute et surtout avec l'envie qu'un tel phénomène ne se reproduise plus... j'aurai pu à l'époque rejoindre les rangs des corsaires, criant haut et fort que sous les ordres du Roi, ils allaient trouver la terre promise. OUi, c'est vrai, j'aurai pu mais j'ai toujours eu en moi, cet envie d'être mon propre maître. J'ai travaillé en tant que mousse sur des navires marchands que mon père avait l'habitude de déchargé pendant mes jeunes années. J'ai bien gagné ma croute mais pas assez pour avoir l'indépendance. Mon père a sans doute senti qu'il manquait quelque chose dans ma vie et le vieux docker qu'il était devenu m'a emmené dans les coins reculés du port pour me présenter un navire délabré qui semblait pourtant crier mon nom. Je me souviens avoir regardé mon père et il n'y a pas eu besoin de mot. Nous avons mis deux ans à le remettre en état mais à 21 ans, je partais déjà sur les flots pour mon premier voyage. Depuis, je suis devenu un pirate, un de ces brigands traqués par la couronne.

Autres: A l'abordage!