Nom: Parker
Prénom: Reeze
Surnom: Ree’
Âge: 14 ans
A quel groupe appartenez-vous?: Villageois, apparemment x.X’’
Travail: Aucun
Caractère: Reeze a dût renoncer à ses sentiments quand elle est devenue orphelin. Pour elle, la mort de ses parents signifiait oublier la souffrance, la tristesse et les joies. Pour survivre elle était prête à tout. Possédant un courage qui frise la témérité, elle n’hésite pas à faire tout ce qu’elle peut pour avoir ce dont elle a besoin. Elle ne veut d’aucune aide de la part de personne et ne compte pas en demander. Elle ne se gênera jamais pour mettre son poing dans la figure de quiconque lui tapera sur les nerfs ! Reeze a souvent tendance à agir comme un garçon et évite les coquetteries féminines. Elle ne se laisse pas marcher sur les pieds et a toujours la bonne réplique quand on l’insulte. Le fait qu’elle est apprise à vivre seule lui a donné un fort caractère qui, justement, la caractérise bien !
Physique: Que dire de l’apparence de Reeze …
Si on ne regardait que ses cheveux d’une étrange couleur blond-rosé et ses yeux d’un bleu comme la mer ou sa taille fine, trop mince, et sa grandeur d’adolescente, elle est tout simplement comme toute les autres filles qui l’entourent. Mais regardez donc mieux les gens. Ne voyez-vous pas comment Reeze est habillées ? De loques. Cela en dit long sur elle. Ses cheveux ne sont pas aussi soyeux que les autres. Sa peau blanchâtre et son ossature fragile démontre une malnutrition involontaire.
Malgré tout, il faut s’avouer que Reeze à une certaine beauté. Vous savez, cette beauté naturelle que chaque être humain a ? Et cette lueur dans ses yeux, cette lueur de survit. Elle ajoute à l’harmonie de son visage encore enfantin.
Signes particuliers: Une horrible cicatrice dans le dos
Armes: Un couteau qu’elle a … Hum … volé.
Histoire: « Cela fait dix ans. Dix ans que cet histoire ne m’est pas revenue à l’esprit. Dix ans que je vis avec cette horrible image dans ma tête. Va-t-elle me laisser dormir en paix, un jour ? Elle hante mes cauchemars. Je haie mon passé.
Quand j’ai eue quatre ans, le pire est arrivé. Depuis que je suis née, même si mes parents n’ont jamais eu de l’argent, ils m’ont toujours choyé. Je me souviens qu’un jour, ils avaient gardés toutes les économies possibles pour m’acheter une jolie poupée que j’avais vue dans un magasin, un jour. Même si, habituellement, je trouvais les biens matériels plutôt superficiels, j’étais très heureuse. J’avais une existence de princesse … même si nous étions pauvres.
Mais justement. Notre problème, c’est que nous étions pauvres. Mon père essayait de se trouver des petits travaux par-ci par-là. Mais personnes ne semblaient enclins à l’engager. Et cela causa notre perte. Mes parents finirent par avoir à peine assez d’argent pour que l’on puisse se nourrir. Nous avions toujours faims. Alors imaginez, si nous n’étions même pas capable de payer pour notre propre survit, croyez-vous vraiment que nous pouvions payer les taxes pour le roi ?
Mes parents supplièrent les collecteurs du roi pour avoir un délai supplémentaire pour payer ce qu’ils devaient. Mais vous connaissez peut-être ces hommes sans cœur. Non seulement ils refusèrent de nous accordez un délai, mais ils jugèrent ma famille comme indigne de continuer à vivre sous la bonté de notre roi. Et c’est sans remords qu’ils mirent le feu à notre maison. Mes parents n’eurent aucune chance de survie. Moi, par contre, j’étais tellement petite que je réussi à me faufiler dehors. Mais pas sans égratignure. J’héritai d’une horrible brûlure sur le dos.
Je passai ainsi plusieurs semaines à tenter de me soigner, volant certains remèdes quand j’en avais la force. Et quand je fus enfin guérie, je commençais vraiment ma nouvelle vie. Ma vie de vagabonde. Mais surtout, ma vie d’orpheline. J’étais toujours pauvre, mais je tentais de survivre comme je pouvais. Fouiner dans les poubelles n’avaient en rien quelque chose d’attrayant alors j’essayais toujours de voler quelques mets qui trainaient sur des étalages des vendeurs. Mais je risquais gros et je m’étais souvent fait prendre.
Et un jour, j’ai juste eue de la chance. J’étais morte de faim et la somnolence avait pris le dessus. Je trainais dans une ruelle et mes jambes m’avaient abandonnées. Elles ne supportaient plus mon poids alors que je me laissais tomber à genoux sur le sol. Une femme sortait des poubelles à ce moment. J’avais l’habitude que les gens m’ignore, mais, désespérée, je lui jetai un regard implorant. Et le miracle du se produire. Elle me demanda si j’avais faim. Mon estomac répondit pour moi. Elle me dit d’attendre un instant et retourna dans un bâtiment. Quelques instants plus tard, elle ressortie et me tendit une assiette avec quelques victuailles. C’est à ce moment que je me fis vraiment une alliée. Émilia. Et quand il m’était impossible de trouver de la nourriture ailleurs, elle m’en offrait. Elle avait un travail étrange mais je m’en fichais, j’allais souvent la voir. Et grâce à elle, j’ai pu me rendre jusqu’ici. Mais, qui sait ce que demain me réserve ? »
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