Pirate's Land
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 Amythiaelle Takoma

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2 participants
AuteurMessage
Amythiaelle Taköma
Vigie sur l'Amazone
Amythiaelle Taköma


Messages : 4
Date d'inscription : 19/07/2009
Age : 32

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MessageSujet: Amythiaelle Takoma   Amythiaelle Takoma Icon_minitimeMer 22 Juil - 4:36

Nom: Taköma ;
Prénom: Amythiaelle ;
Surnom: La Kuam ou Taköma ;
Âge: 19 ans ;
A quel groupe appartenez-vous?: Corsaire ;
Travail: Vigie sur l’Amazone ;
Si vous êtes un Kuam, quel est votre don de base: Comprend le langage des oiseaux et le langage corporelle des animaux sauvages ;

Caractère: Élever en grande majorité par sa grand-mère, Amythiaelle a grandi avec ces histoires de bels hommes blancs qui viennent sur leurs terres à la recherche de quelque chose pour leur propre Grand Chef et qui prennent goût aux femmes de son peuple. Ses rêves nourris par l’illusion eurent raison d’elle. Aveugle à leur visage caché, elle est tombée dans leur jeu. Non pas celui des hommes de la mer, mais ceux de sa terre. Elle se retrouva sur une terre inconnue. Son habitude à la vie sans ressource lui permit de s’adapter. Elle développa de nombreuse techniques pour survire comme par exemple, faire jouer ses atouts. Je ne parle ici d’offrir ses attributs féminins, mais plutôt de chantage. Le poids de son épée est lourd lorsqu’une se retrouve sur une gorge. On aurait pu croire qu’elle aurait finit au fond d’un vieux bateau de pirate, mais ces bonnes manières qui lui viennent de sa terre natal ont eu raison d’une corsaire avide de se trouver un équipage. De plus, à défaut d’avoir les oreilles qui sillent, ses yeux sont ceux d’un aigle. Et lorsqu’elle n’arrive pas à faire comme il se doit son travail d’où elle est, Amythiaelle envoi Miko, son aigle apprivoisée.

Physique: Lorsque la brise heurte son corps, elle n’est que dévié. Elle contourne ce corps frêle et souple. Le vent ne fait que caresser cette peau douce et hâlée que le soleil rend dorée. L’élément fait glissé ses longs cheveux bruns foncés de ses épaules délicates et les laissé vibrer sous son contrôle. Lorsque le vent meure, sa chevelure retrouve sa place dans le bas son dos. Ses yeux se mettent à briller sous le soleil. Tel un joyau, la couleur noisette or resplendit pour finalement aller se réfugier sous ses paupières maquillées de noir. Envahis d’un sentiment, ses pulpeuses lèvres s’entrouvrent pour laisser partir un soupire. Du bout de ses doigts soignés, dans une infirme caresse, elle les touche pour sentir la chaleur de son souffle. Puis, soulagée, elle les laisse glisser sur son menton arrondi. Ils suivent la courbe de son cou pour venir finalement faire mourir son geste sur sa poitrine ferme. Dans un espoir, elle souhaite entendre son cœur battre sous sa peau chaude et tendre. Elle renonce lorsque le vent revient s’acharner contre son visage. Sa main reprend sa balade sur son ventre inexistant. Elle vint s’échoir sur sa hanche afin de coincer son vêtement contre sa peau. L’air vint chatouiller sa peau marqué de trait noir indélébile au niveau de son ventre, de ses bras et de ses jambes. Le vent violent la force à se servir de sa seconde main. Avec ses doigts habiles, elle retint les mèches frivoles de sa chevelure foncé qui dans une danse autour de sa tête, obéisse aux ordres du vent incontrôlable autour d’elle.

Signes particuliers: Un accent propre au Kuam et malgré sa civilité, elle porte encore par habitude une robe de peau tané et préfère rester pied nue sur le bâteau ;

Armes: Une épée plutôt imposante qu’elle a trouvée… dans une forgerie au prix imbattable d’une bonne course.

Histoire:


Protéger par l’océan de la bêtise de l’homme, Amythiaelle était peu soucieuse comme les plus jeunes de son clan des dangers qui provenaient de la mer. Elle n’y voyait qu’un paysage bleu qui s’étendait sous les caresses du vent. Son innocence était celle des siens. Toujours, ils avaient accordés à la terre une importance primordiale. Elle les nourrissait et les hébergeait sans malice. Amythiaelle était de ces enfants qui profitent de ces espaces verts.

Amythiaelle la protégeait des peaux blanches qui venaient troquer avec le chef de son village. Ces hommes pâles l’intriguaient. Ils avaient réveillés la curiosité qu’on lui avait toujours demandé de taire. Sa grand-mère mettait souvent en garde les hommes de son village du deuxième visage des peaux blanches. Ils n’étaient pas comme eux et nourrissaient des mœurs bien différentes des leurs. Sa grand-mère ne cessait de répéter à Amythiaelle qu’il lui fallait se tenir loin de ces visages laiteux comme elle les appelait. Mais cela était loin d’être ce dont elle rêve. Elle voulait voir ce que ses yeux ne verraient jamais, parcourir à pied ou en barque, découvrir le monde tel qu’elle l’ignorait. Et ces hommes sur ces grands navires pouvaient sans doute lui offrir ce dont elle rêvait. Toute fois, elle faisait confiance aveuglément à son aînée. Suivant son éducation, elle devint une jeune fille forte élégante. Son seul défaut l’a priva toute fois d’un mari. Savoir tenir sa langue était primordial pour une femme Kuam, chose qu’elle n’arrivait pas à faire. Elle avait un énorme besoin de savoir et sa curiosité ne trouvait pas d’assouvissance. Passé l’âge idéal pour s’unir à un Kuam de sa tribu, elle fut sélectionnée pour le grand sacrifice annuel. Révoltée contre ses paires, la grand-mère d’Amythiaelle vint la réveiller la nuit avant le sacrifice. La jeune fille s’était calmée et résolue à l’honneur mortel que sa tribu lui offrait contrairement à sa mère d’adoption. Maigrement vêtue comme à son habitude, l’adolescente se capuchonna sous la demande de la veille femme qui lui tendu un sac remplis de pièce doré.


-Ceci est pour ta traversé vers le monde des visages pâles. Je t’offre le passage vers ta vie d’adulte. Donne au capitaine de la grande barque le sac en échange de ta traversé. Il t’attend dans la baie du soleil.

Peu informé quant à son futur, elle quitta son village comme une ombre afin d’atteindre la baie avant le lever du jour. À cette endroit, elle découvrir un énorme bateau. Les hommes s’apprêtaient à remonter l’étroite échelle qui permettait de monter à bord du navire. Ses précédentes rencontres avec ses hommes blancs lui avaient permit d’apprendre quelques mots de leur langue. Elle parvint à faire comprendre au capitaine qu’elle avait de quoi payer son voyage. Il était étrange de voir à quel point ces pièces de métal étaient importantes pour eux. Posséder cela était pour eux leur objectif. Il échangeait n’importe quoi contre ça. Dès que l’homme vu la rondeur de la bourse que tenait Amythiaelle, il lui fit signe de monter à bord sans délais. Elle grimpa avec facilité sur le pont et les corsaires de l’équipage eurent un rire en voyant la sauvage si maigrement vêtue. Le capitaine eut une moue de découragement. L’inconsciente risquait gros sur son vaisseau, mais la jeune fille semblait habitée par une détermination lorsqu’elle lui tendit sa bourse d’or.

-Emmenez-moi sur miroir du ciel, loin de terre Kuam.

Les jours qui suivirent l’appareillage furent sans grande histoire. La Kuam apprenait le langage des hommes pâles au même rythme qu’elle découvrait ce qui l’entourait. Tout cela était nouveau pour elle. Le capitaine lui offrait sa cabine pour les repas afin d’éviter les ennuis malheureux, mais il savait que lui-même ne résisterait pas à la peau dorée de cette jeune femme si le trajet de retour se faisait long. Pour le moment, il gardait la délicate fleur avec lui afin de lui apprendre les mœurs de la terre qui l’accueillerait au terme du voyage. Bien vite, il se rendit compte qu’elle allait retrouver le vigie à tout heur de la journée afin de profiter de la vue et du vent dans ces longs cheveux terreux. Il la mit donc sous la tutelle des vigies du bateau. Au moins, elle aurait une fonction sur le bateau si la terre ne lui plaisait point. Comme si il eut quelconque liens avec elle, l’homme d’âge mur la traitait différemment des autres matelots. Il avait tenté en vain de lui faire revêtir une chemise et un pantalon, mais aussitôt qu’il se retournait, elle enlevait le bas en prétextant qu’il l’empêchait de se mouvez dans les cordages. Il avait abandonné cette partie, elle n’en faisait qu’à sa tête. Au moins, elle avait appris à le respecter et lui obéir comme tout membre de son équipage. Il s’attristait jour après jour de devoir la laisser quitter le pont lorsque la terre serait en vue. Toute fois, la longue traversée commençait à peser sur les hommes embarqués. Il ne pouvait la protéger des autres. Elle n’était que simple voyageuse que personne n’attendait. Il se demandait s’il lâchait ces hommes sur elle, si Amythiaelle ne viendrait pas se loger dans ces bras à lui. Il pourrait ainsi la garder à lui seul. Cette femme issue d’un peuple sans pudeur devait posséder en elle un plaisir qu’aucunes autres ne devaient posséder. Il jalousait l’homme noir qui avait pu goûter son corps et s’encrer à son port. Il voulait lui aussi parcourir les plages de son dos et profiter de la vue qu’offraient les montagnes de sa féminité. Seul un idiot n’aurait pas profité de sa situation. Il l’avait habitué à diner avec lui et observer les premières lueurs de la nuit en sa cabine. Et comme à tous les soirs, elle vint à lui. Alors qu’elle s’appuyait contre la fenêtre ouverte pour voir les étoiles, il la rejoignit et se plaça derrière elle embrassant son cou que ces cheveux avaient laissé apparaître. Aussitôt, dans un réflexe, la Kuam se défit de ses bras. Elle le regarda avancer vers elle alors qu’elle, en sens inverse, reculait vers la porte de la cabine. Avant qu’elle n’ait pu s’en approcher d’avantage, il lui saisit le poignet la ramenant à lui. Dans une dance effrénée, le capitaine la fit valser jusqu’au lit de sa cabine. Elle se retrouva perdue dans les draps de fortune le poids de l’homme l’écrasant.

-Redescends immédiatement, Amythiaelle !


Rien à faire, la Kuam était sourde à ses ordres. Il rageait… elle avait profité de sa faiblesse d’homme pour s’enfuir la veille et depuis, elle occupait le poste de vigie sans adresser un seul mot à quiconque. Même les vigies qui montaient à leur poste ne pouvaient lui soutirer une phrase. Elle fixait la ligne d’horizon l’œil vide. À cela venait s’ajouter cet oiseau de malheur qui tournait autour des voiles du bateau. La terre fut visible seulement deux jours plus tard. Dès que le navire accosta au port, la Kuam emprunta le chemin des voiles et des cordages pour descendre à terre. L’aigle reprit son envole et disparut vers la ville qui s’ouvrait devant eux. Amythiaelle avait fait comme l’oiseau et avait traversé le port pour pénétrer dans la ville.

Elle du vivre de peu pendant un moment, mais elle avait eu coutume de cela dans sa vie. Elle se créa un petit bagage de biens volés incapable de trouver ces fameuses pièces si chères à l’homme blanc. Par heureux miracle, elle eut vent qu’un navire n’avait point de membre et que son capitaine encourageait toute femme à s’y joindre. Elle mit à profit son enseignement de vigie pour accéder à l’équipage. Aujourd’hui, vigie de l’amazone, elle ne quitterait point ces femmes corsaires qui naviguent pour traquer des pirates malfaisants.




Autres: A l'abordage!
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Émilia Thunderr
Catin sur l'île de la Perdition
Émilia Thunderr


Messages : 22
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MessageSujet: Re: Amythiaelle Takoma   Amythiaelle Takoma Icon_minitimeJeu 14 Jan - 2:13

Émilia Thunderr Accepte la présentation et va vider se sujet, comme elle sait vider -censuré-

è_é Que je vous prennent à recommencer vous trois!
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Amythiaelle Takoma
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