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 Taliane Khëvadaih

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AuteurMessage
Taliane Khëvadaih
Princesse Kuam
Taliane Khëvadaih


Messages : 28
Date d'inscription : 18/07/2009

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MessageSujet: Taliane Khëvadaih   Taliane Khëvadaih Icon_minitimeSam 12 Déc - 21:41

Nom: Khëvadaih
Prénom:Taliane
Surnom: (... euh... cherchez!! XD mais appelé là pas Tata s'il-vous-plait!)
Âge: 19 ans
A quel groupe appartenez-vous?: Kuam
Travail: Princesse Kuam
Si vous êtes un Kuam, quel est votre don de base: Pouvoir de la connaissance (clairvoyance, elle a parfois des visions, mais cela reste très flou et n'impose jamais ce qui va arriver, mais bien ce qui pourrait être)

Caractère:J'ai toujours été de nature rêveuse et pour cela solitaire aussi. Je voulais partir et ce désir frustrée de ne pouvoir le faire m'habite toujours, bien que je me refuse à le montrer à qui que ce soit. Parce que mon rôle dans le village ne me permettait pas la solitude, j'ai apprit à vivre entourer de gens et si je ne m'y sent pas véritablement à ma place, je sais me montrer aimable et les soirées passées à danser autour d'un grand feu de joie savent toujours me réchauffer le coeur. Je suis sincère dans ce que je suis, malgré mes rêves enfouis. J'aime mon peuple et je veille sur lui comme mon rôle me le demande et comme j'aime à le faire. Mon pouvoir me fait parfois voir des choses qui ne sont pas encore. Plus qu'une vision précise, c'est un pressentiment, une impression. Si je me suis toujours abstenu de faire ce que c'est impression me dictait de faire, si cela allait à l'encontre de ce qui m'était demandé, je n'aime pas qu'une autre personne se refuse à son destin et l'incite à suivre la vague. Je suis accueillante, sincère et généreuse, à l'image de mon peuple, mais je n'aime pas parler de moi et où me mène la vie. Pour cela, on me trouve souvent distante, facile à approché en surface, mais difficile à saisir pour véritablement me connaître. J'ai toujours aimé les histoires qui nous viennent d'ailleurs et qui nous parle de cette terre lointaine qui serait protégé des caprices la mer.
Physique: Ma peau est teintée des origines de mon peuple que le soleil travail depuis des siècles. La chaleur omniprésente et les coutumes font que ma peau est très peu couverte et il paraît que je choquerais les femmes blanches si elles me voyaient ainsi. Chez nous pourtant, je ne suis pas plus dévêtue qu'une autre et ne connaît pas la honte de mon corps. Les bijoux que je confectionne ou qui me sont donné par d'autres femmes du villages prennent sûrement plus de place chez moi que le total de ma garde-robe et il s'agit presque uniquement de grands foulards que j'attache pour cacher le bas de mon corps et, quand le soleil est trop fort, je couvre mes épaules pour éviter à ma peau de cuire. Sinon ma poitrine n'est presque jamais couverte, sauf peut-être par les multiples bijoux artisanales que je porte, souvent faits d'os et de coquillage. Je suis menue et la nature m'a bien faite. Mes gestes sont légers, précis, gracile, donnant cette impression à ceux qui viennent d'ailleurs, que les femmes d'ici volent plutôt qu'elles ne marchent. Mes yeux chocolats (90% de cacao) on cette particularité de briller d'un éclat bleuté lorsque mon pouvoir de clairvoyance s'impose en moi trop fortement.

Signes particuliers: Ses yeux deviennent bleus lorsqu'elle use de son pouvoir pour imposer une vision, ou lorsqu'une vision s'impose à elle.

Armes: (aucune)

Histoire: Je me rappelle un jour où j'avais le souhait de partir, loin de ma terre natale, parce que j'étouffais de tout ce que je me devais d'être. J'avais 6 ans je crois et avec d'autres jeunes Kuam, nous avions construit un radeau pour fuir loin d'ici et trouver cette terre idyllique dont les voyageurs parlaient si souvent autour d'un feu. Je menai à bien la mission que je m'étais donné et alors que le soir tombait, avant que les mères ne nous appel pour le repas du soir, le radeau partait au large sous nos cris excités. Le radeau est partis ce qui nous sembla des heures, des années. Notre jeunesse ne nous permettait pas d'avoir une bonne idée du temps. La terre disparue et nous nous sentîmes libres. Du moins, ce fut mon impression, alors que d'autres avec moi commençait à pleurer et à me demander de les ramener. J'ai apprit avec les années que tout les Kuam ne rêvaient pas d'un ailleurs. Presque tous sont encore attaché à la terre de nos ancêtres et s'ils craignent qu'elle ne disparaisse sous une haute vague, comme cela arriva à de nombreux villages, ils préfèraient mourir noyés que de la quitter.
La terre nous réapparut quelques temps plus tard. Nous croyons avoir touché un nouveau continent et les portes de l'inconnu s'ouvraient devant nous. L'excitation revenait et la peur nous quittait. Hors avant d'accoster, nous avions reconnut nos mères inquiètes et en colère sur le bord de la plage. Notre sens de la navigation nous avait mené à quelques kilomètres seulement de la plage que nous avions quitté. Le désespoir et la peur, surtout, en voyant le regard furibond de ma mère, me gagna. Je fus sermonner comme nulle autre, pour avoir voulut fuir la terre qui m'avait nourrit, ma famille qui m'avait nourrit, et mon peuple qui aurait un jour besoin de moi.
Je ne me rappel pas avoir jamais tenté de fuir après cela. L'on m'apprit à prendre ma place, mon rôle dans ce monde et si je n'ai jamais cesser de rêver à ce qu'il pouvait y avoir loin de nos terre, mes parents ne me permirent pas de rêvasser, pour que je tienne dorénavant mon rôle de princesse comme il se doit. Mon rôle n'est pas comme celui que l'on a raconté, des princesses blanches. La fille du chef se doit simplement d'aimer son peuple et de le lui témoigner à chacun de ses gestes. Je n'ai ni serviteurs, ni grandes richesses. J'aide les femmes à la cueillette et la préparation des repas et j'apprend auprès de ma mère, à veiller à ce que chacun donne du sien et aille ce qu'il doit avoir pour survivre.
Le peuple Kuam, je l'ai toujours aimé et j'ai apprit que jamais je ne pourrais partir. Il ne m'est pas donné de rêver comme je le fait encore la nuit tombé, à l'insu de ceux qui me sont proches. Comme les capitaines qui restent sur leurs navires lorsque celui-ci coule, je serai de ceux qui, si une vague venait à frapper le village, y resterait, droite et fière, pour mourir avec elle. Je crois qu'à un instant de ma vie, le destin m'appelait ailleurs, je l'ai sentit comme une tempête au fond de mes entrailles, comme je sens parfois les choses comme devant inévitablement arriver, aujourd'hui il ne s'agit que de quelques remous qui viennent me frapper par instant, comme on frappe un rocher qui refuse de bouger.



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