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 Ramya Angarika

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2 participants
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Ramya Angarika

Ramya Angarika


Messages : 7
Date d'inscription : 13/01/2010

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MessageSujet: Ramya Angarika   Ramya Angarika Icon_minitimeMer 13 Jan - 2:14

Nom:Angarika
Prénom:Ramya
Surnom:
Âge:18 ans
A quel groupe appartenez-vous?:Kuam
Travail: Danseuse
Si vous êtes un Kuam, quel est votre don de base: Pouvoir de Feu: La Fascination (Elle fascine les hommes, comme les flammes d'un feu)

Caractère: Soit belle et tais-toi. C’est l’idée qui lui a été enseigné, comme à sa mère avant elle. Elle est la fierté de son père, pour sa beauté et cet effet hypnotique qu'elle a sur les hommes. Elle aime qu'on la regarde, certes, mais craint toujours dans les regards, de retrouver celui de son père et de vivre une vie semblable à celle de sa mère.
Ramya n'aime pas le silence obligé et le côté accessoire qu'on voudrait bien lui attribuer. Derrière cette flamme dansante se cache une femme de caractère qui a le désir d'être aimé, avant d'être regardé. Elle ne craint pas la proximité d'un corps près d'elle, lors d'une danse autour des flammes, mais ne supporte pas l'idée d'être possédé par quelqu'un. L'idée de vieillir, de trouver des imperfections à son corps, et de n'être plus aimé pour cela l'effraie. Au village, nul n'a pus encore gagné son coeur. Elle a besoin de preuve, outre que des mots emprunté à d'autre, pour décrire comme elle est belle. Quelque chose de vrai et de tangible qu'elle même ne saurait peut-être pas définir, tant les mots lui manque toujours. Cela la rend, pour certain effronté, lorsqu’elle a le souhait de remettre à sa place un individu qui s’acharne. Elle aurait pourtant un tempérament aimable et se montrer sincère.
Ceux qui attendent d'elle qu'elle s'ouvre au premier regard, s'en vont déçu. Capable d'aimé, du moins le suppose t'elle, elle veut qu'on l'aime tout autant et nul doute que le premier esprit trop orgueilleux ragera devant cette femme qui peut se montrer si froide, si l'on vient à éteindre les flammes de son coeur. La fierté Kuam se lit peut être un peu trop dans son regard, mais elle ne la perdrait pour rien au monde.
Derrière son visage magnifique se cache une jeune femme vive d'esprit, qui ne demande qu'à en apprendre plus sur le monde, mais pour tous, au village, elle demeure un mystère et ce n'est que par la danse qu'elle a apprit à s'exprimer et c’est toujours à cet élément qu’Elle se raccroche. Hors la fascination qu'elle provoque fait oublié à ceux qui la regarde, ceux qui frôle son corps brûlant, le message qu'elle voudrait lancer au monde et que les mots n'arrivent pas à exprimer.


Physique: Sa peau hâlé par le soleil, découverte des inutiles vêtements, s'illumine de la lueur des flammes lorsque le soir venu, elle danse près du feu, oubliant un instant qui elle est pour renaître en une étincelle qui allume le coeur des hommes. Son corps svelte s'harmonise à la danse des flammes avec une légèreté et une assurance fascinante. Les courbes de sa silhouette invite à une caresse qui brûlerait sûrement celui qui succombe à ses mouvements langoureux. Son regard hypnotique renvoie le reflet du feu ardent du désir d'être prise, mais peut aussi renvoyer l'éclat inquiétant d'un animal traqué prêt à attaquer si l'on traverse l'invisible frontière qu'elle seule semble pouvoir déterminer. Alors que ses cheveux tombent en cascade sur son dos, dansant au même rythme de ses pas, sa bouche invite, comme chaque parcelle de son être, à s'y souder, quitte à devoir mourir brûlé comme on se brûlerait sur les braises ardentes. Si son pouvoir rappel de prime abord celui des sirènes, il n'est pourtant pas comparable, plus brûlant et plus physique que le charme insaisissable des sirènes.

Signes particuliers:-

Armes: Au quotidien elle garde toujours un court poignard, fabriqué par des mains Kuam, sur elle, mais lorsqu'elle danse elle n'est pas armée (parce que... où voudriez vous qu'elle range son couteau?!)

Histoire: Mani célébrait, comme tout les autres Kuam du village, le mariage du chef et de sa jeune épouse. Âgée de 15 ans encore, son corps s’était arrondit des formes qu’on les femmes, elle devenait chaque jour plus belle que la veille et les regards, près du feu n’était plus que pour elle, lorsqu’elle venait danser. Elle aimait sentir les regards l’effleurer et lorsqu’à la fin d’une danse, elle rouvrait ses yeux, elle se nourrissait de cette passion qu’elle éveillait chez les hommes qui l’avait regardé. Ce soir là, un jeune homme se mourait particulièrement de la voir danser sous ses yeux, aillant comme tous, l’envie de venir danser contre son corps que la chaleur avait recouvert de fine goutte de sueur.
D’autres hommes n’eurent pas sa réserve et vinrent suivre l’ondulation de son corps au rythme des chants et des tambours. Lui ne pouvait pas. Il ne savait pas danser et la jalousie s’empara de son corps. Il aurait voulut empêcher tous ses jeunes hommes de l’approcher et de la toucher. Il la voulait pour lui et montrer à tous qu’il était le seul à pouvoir la posséder.
Il ne fallut pas longtemps pour que le regard du sorcier envoute la jeune Mani. Elle n’avait pas apprit à différencier l’amour du désir et ne sentit pas le danger. Il l’enveloppait dans un cocon, lui rappelant comme il la trouvait belle et comme il aurait voulut l’avoir prêt de lui toujours. Il la regardait danser sans arrêt et loin des regards il la possédait toute entière.
Au fil du temps, il l’obligea à garder ses distances avec les autres. Il lui proposa qu’elle devienne sa femme et elle ne put refuser, tant elle aimait sentir être la chose la plus importante dans la vie de cet homme.

Le jour où son ventre commença à grossir, les choses commençaient déjà à être moins parfaite. Pour le sorcier, la jeune femme parfaite ne l'était plus. Son ventre arrondit lui faisait perdre sa perfection. Il essayait d'oublier et de se convaincre qu'à la naissance de l'enfant, ce serait chose réglée. Ramya naquit, mais les traces de l'enfant porté restèrent imprimé sur le corps de la femme. Mani ne s'en rendit pas tout de suite compte. Elle était occupée par son enfant et le regard de celui qu'elle croyait aimer n'avait plus la même importance dorénavant. La fillette avait à peine apprit à marcher que sa mère voulait lui apprendre à suivre les rythmes de la terre, pour se mouvoir avec la même volupté qu'elle. Son père, quant à lui, n'osait plus la toucher de peur qu'une étreinte emmène un autre enfant qui vienne finir de gâcher le corps parfait de sa femme. Il arrivait encore à la regarder è l'époque, mais quelques commentaires fusaient parfois et venait frapper le coeur de Mani.

Sa mère ne parlait pas beaucoup. Plus le temps passait et plus elle vieillissait, Mani se plongeait dans un lourd silence. Son époux n'avait, de toute façon, jamais vraiment accordé d'importance à ce qu'elle disait. La mère et la fille communiquait entre elle par la danse, se comprenant sans avoir à parler beaucoup. Aux yeux de Ramya, plus sa mère vieillissait et plus elle était belle, ses émotions refoulées traversant son corps que le temps et la douleur meurtrissait. Mani voyait sa fille vieillir, devenir de plus en plus belle, alors qu'elle, aux yeux de son époux, elle flétrissait à vue d'oeil. Elle se voyait laide et le désespoir la gagnait. Elle cherchait à regagner le regard du sorcier aux yeux de braises, mais c'était de la haine qu'elle lisait dorénavant dans son regard.

Il transposa sa passion et son désir de possession sur sa fille. S'il ne la toucha jamais, il n'en demeurait pas moins extrêmement possessif. À quinze ans, comme sa mère, elle ondulait près des flammes, éveillant la fascination, plus encore que sa mère, de ceux qui venait la regarder. Son père s'enorgueillissait de la voir et récoltait le mérite d'avoir engendré cette jeune femme. Ramya ne se plaignait jamais et si elle n'aimait pas le regard de son père toujours posée sur elle, comme si elle avait été une perle rare, elle n'en disait rien.

Un soir, revenant chez elle, alors que son père était toujours au village, Ramya retrouva le corps inerte de sa mère, qui ne pouvait plus subir cette vie. Il est vrai que dans les derniers temps, le père avait levé la main sur elle, lorsqu'elle osait élevé la voix pour interdire à Ramya d'aller danser au village. Le choc de perdre la changea. Elle voulait fuir son père, mais savait que le seul moyen était de trouver un époux. Hors, la jeune fille ne quitterait pas sa prison, pour tomber dans une autre. Sa chance est de ne pas avoir un père pressé de la voir la quitter, ce qui lui permis de ne pas se sauver dans les bras du premier qui posait son regard sur elle. Déterminé à trouver un homme qui saurait véritablement l'aimé, elle eut tôt fait de constater que ce n'était pas sans mal qu'elle le ferait.

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Sergeï Flerick
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Sergeï Flerick


Messages : 57
Date d'inscription : 24/06/2009

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MessageSujet: Re: Ramya Angarika   Ramya Angarika Icon_minitimeMer 13 Jan - 18:37

Je suis sûr qu'en rousse, tu serais magnifique.

*lui offre une rose blanche et l'invite à passer*

Acceptée jolie Kuam.
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