Nom: Winterwear
Prénom: Deborah
Surnom: Fleur d'Asie
Âge: 23 ans
A quel groupe appartenez-vous?: catin
Travail: Hum... je vais pas vous faire un dessin! è_é mais je chante à l'occasion sur cette petite estrade devant les tables couvertes de coulis d'alcool.
Caractère: Hey! réveillez-vous matelots! Je suis de ces femmes pleines de vie, pleine d'humour et pleine d'entrain. Je sais me faire la plus douce des chattes, la plus gracile, la plus tendre et je peux aussi être tigresse. Mais je ne suis pas la plus farouche, je laisse cela à notre petite mégère Emilia. Je ne tolère pas non plus les mains trop baladeuse mais je m'assied bien facilement sur les genoux des hommes pour en changer ensuite. j'appâte le client et je me fait mon or. Il n'est pas dur se faire désirable dans un endroit pareil mais je veille à ma distinction. Elle est un petit peu ma marque de fabrique que les clients ont nommé Fleur d'Asie. Toutes les filles ont leurs trucs. Emilie, la farouche, Monica, la soumise, Svelena, la dominatrice et j'en passe... Il en faut pour tous les goûts comme on dit. Moi, je suis aussi un peu lunatique... j'ai mes changements d'humeur qu'il ne faut surtout pas me reprocher. Je prends très mal la critique et me trouve être très rancunière. J'ai de l'esprit quoiqu'il n'en faut pas beaucoup ici et je m'amuse toujours à donner une note à mes clients au-dessus d'un croquis un peu cochon, dans un petit carnet qu'à offert La patronne à toutes les filles. Je me demande ce qu'Emilie fait du sien? Oui, je suis un peu curieuse, il est vrai mais ce n'est pas important! L'important ici, c'est de savoir jouer avec les hommes pour leur faire cracher leur portes-monnaie et je crois que je me débrouille plutôt pas mal! ^^
Physique: Je serai immensément plus belle sans toutes ses franfreluches portée à l'excès et tout ce maquillage qui me donne mon air de putain. Je suis d'ailleurs méconnaissable lorsque je m'apprête simplement, on ne devinerait presque plus ma débauche. J'ai un air de Geisha porté peut-être un peu à l'excès. Ma dignité, je la porte peut-être dans le fait que je n'ai pas honte de faire ça. Je suis une touche de couleur vive dans cette taverne sombre. Je porte des robes de soies magnifiques dans les teintes les plus chaudes et je me pare d'accessoires aux allures d'ailleurs. Mon visage ovale est toujours (du moins lorsque je travaille) recouverte d'une poudre blanche qui unit mon teint le protégeant des quelques rares imperfections qu'on pourait y trouver, je réhausse mes pommettes d'un peu de rose pour ne pas parâitre blâfarde et sur mes lèvres pleines et semi-pulpeuse, je pose un rouge intense. Mes yeux parraissent un peu plus allongés par le maquillage que je leur impose. Du noir et des faux-cils pour réhaussés mes iris déjà très sombres et du rouge pour venir rejoindre ma chevelure qui pare mon crâne. Je les coiffe toujours très haut à la manière des femmes d'asie et je laisse quelques mèches esthétiques voleter librement. Il n'est pas rare de me voir parer de fleurs qui me donne ce doux parfum onirique. Je pense qu'il est inutile de vous parler de la finesse de ma silhouette et du rebondis de mes courbes.
Signes particuliers: Mon air de geisha
Armes: Je n'ai pas vraiment le droit de porter une arme mais je suis assez adroite avec un pistolet à silex et puis une bonne cruche sur le haut du crâne et le problème est réglé.
Histoire: Je ne crois surprendre personne en vous disant que sur l'Ile de la Perdition, les catins tombaient enceinte. Et il n'était pas rare non plus de voir ces enfants vendus au marché noir. Peut-être certains tomberaient-ils dans une bonne famille... ou peut-être pas. Ma mère était catin, des trois hommes qui ont partagés sa couche cette nuit là, j'ignore qui est mon père: le matelot, le capitaine ou le marchand? Enfin, ça n'a peu d'importance car ma naissance tombait à point nommé comme on dit! Ma mère commençait à entrer dans l'âge où les hommes même ivres, ne vous tournent plus autour et elle était une perte pour la maison close. Elle devait trouver une solution rapidemment et me vendre sur le marché ne lui rapporterait qu'une infime partie de ce qu'elle gagnait ici. Les temps furent dur pour elle dans les premiers temps, elle dût taper dans ses économies car la patronne refusait de couvrir tous ses frais. Elle m'emmena partout me laissant assister sans tabous à ses ébats mais du haut de mes 10 ans, elle m'estimait encore jeune pour les hommes. Il fallait pourtant trouver une solution car l'argent commençait cruellement à manquer. La révélation vînt un soir où tout allait mal, aucun homme ne l'avait effleurer. J'étais assise à une table avec un vieux marin et il m'apprenait une chanson de vieux loup de mer. Je fus visiblement une bonne élève car il me glissa une pièce en m'affublant d'un baiser sur le dessus de la main. Ma mère eut une illumination et le lendemain, j'étais sur les planches à chanter gaiement cette même chanson pour obtenir quelques pièces. Avec le temps, ma voix d'enfant mua et prit une jolie teinte charnelle et féminine et mon répertoire s'était aggrandie. J'étais encore vierge et j'avais 14 ans. Mes formes commençaient tout naturellement à se former et je n'étais plus une enfant depuis déjà un moment aux yeux des hommes. J'eut peut-être plus de chance que certaines d'entre-nous car ma virginité fût perdu avec un même matelot de mon âge, lui aussi puceau et d'une timidité étouffante qui plus est. J'avais suffisament vu ma mère faire pour ne pas me laisser dépasser par les évènements et je pris les choses en mains dans tous les sens du terme. Je pris donc l'or à mon premier client et le remit à ma mère. La machine fût mise en route et je rejoins l'équipe des catins de Madame Ilona, notre supérieure et gérante du Caveau des Succubes. Ma mère mourrut quelques années plus tard, l'hiver fût rude et l'on vint à manquer de tout. Je me remis vite, je n'avais jamais vraiment eu de réelles rapports maternelles avec elle, elle était plus une maîtresse d'école. Aujourd'hui, à 23 ans, je suis une catin qui a suffisamment de caractère pour ne pas en avoir honte. Ce serait plutôt les hommes qui devraient trembler de honte de devoir payer une femme pour avoir du plaisir, comme incapable d'en séduire une tout seul.
Autres: A l'abordage!
Sam 11 Juil - 17:49