Pirate's Land
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 Émilia, dite "La ptite mégère"

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2 participants
AuteurMessage
Émilia Thunderr
Catin sur l'île de la Perdition
Émilia Thunderr


Messages : 22
Date d'inscription : 11/07/2009

Émilia, dite "La ptite mégère" Empty
MessageSujet: Émilia, dite "La ptite mégère"   Émilia, dite "La ptite mégère" Icon_minitimeSam 11 Juil - 18:53

Nom:Thunderr
Prénom: Émilie Interdit de l'appeler comme ça
Surnom: La Ptite Mégère (les clients l'appel comme ça) ou Émilia
Âge: 18 ans
A quel groupe appartenez-vous?: Catin
Travail: Échauffer les sens des hommes jusqu'à ce qu'ils aillent vider leur porte-monnaie


Caractère: Si Émilia se fait appeler "la petite mégère", ce n'ai pas pour rien. Elle aime bien jouer la catin un peu farouche et sait esquiver avec adresse la caresse des clients qui n'ont pas payé pour. Si on début c'était par gêne qu'elle jouait la mégère, aujourd'hui c'est devenu un jeu avec les clients qui apprenne à la connaître et qui la respecte à leur manière. Ceux qui ne la connaisse pas encore se trouve souvent offusqué par son attitude provocante de ste-nitouche et cela lui a déjà value de se faire remettre à sa place, mais elle ne change pas pour autant. Ceux qui la connaisse l'aime bien et se prête à son jeu, se moquant de ses manières et clamant haut et fort jusqu'à ce qu'elle fasse mine de s'en offusquer, que dans les chambres elle n'est pas si farouche. Et parce qu'elle refuse de laisser les mains baladeuses se promener sous son buste trop vite, les loups de mer restent souvent plus longtemps attabler pour l'amadouer et consomment plus que leur dut d'alcool. Le tavernier a depuis longtemps laissé tomber l'idée de la remettre à a sa place pour qu'elle fasse moins de manière au client, tout comme la patronne. Après tout, plus longtemps les marins restent à table, plus ils boivent de rhum!
Elle ne se plaint que pour la forme. Si lorsqu'elle avait tout cela ne lui suffisait pas, maintenant elle sait se contenter de rien. Ce pourrait être pire et elle en a conscience. Elle est d'agréable compagnie avec ses compagnes de travail et adore les moments passer à rire. Grâce à Deborah elle a apprit à ne pas voir son travail comme un terrible sort et à l'accepter jusqu'à en éprouver une certaine fierté. Au moins pendant que les rudes hommes de la mer jouent sous ses jupons, ils ne sont pas en train de violer des gamines dans tes cales de bateau. Il y a du positif dans toute chose!
Physique: Elle n'est ni très grande, ni très musclée. Si ses courbes se sont développées depuis deux ans, elle est resté plutôt menue ce qui ne lui donne pas l'air bien dangereux. Seul son attitude revêche lui on donné le respect de la clientèle, car des plus battit qu'elle n'en avait pas fait autant. Tout le monde c'est très bien, juste à la voir, qu'elle est toujours aussi dangereuse qu'un jeune chat. Elle évite tout les flafla et ses vêtements qui dévoilent juste ce qu'il faut pour éveiller le désir, lui donne un air de demoiselle plutôt prude à côté de Deborah, mais elle a toujours su jouer de cela. Sa longue chevelure est entre le brun et le roux et elle a soin de s'en occuper pour qu'elle tombe dans son dos en une longue cascade qu'elle n'aime pas beaucoup attachée, même si cela peut se révéler peu pratique par moment. Aguichante à souhait si elle le veut, elle sait aussi bien rouler des hanches que marcher droitement et fièrement comme la dames qu'elle aurait du être si elle n'était pas embarqué sur ce fameux bateau. Sa bouche pulpeuse et ses yeux d'un étonnant vert foncé savent attirer le coup d'oeil d'un marin venue se rafraîchir avant de reprendre le large, tout comme cette attitude méticuleusement travaillé de demoiselle farouche.

Signes particuliers: Rien, à part que c'est la plus farouche des Catins de l'île... après la patronne!

Armes: un coutelas à sa jarretelle. Pour ceux qui voudrait profiter sans payer.

Histoire: Je l’entend déjà qui gueule à s’en fendre l’âme, alors que l’heure du déjeuner n’a pas encore sonner.

-Mais où est cette sale putain encore? Pas au lit à se prendre pour une princesse, comme toujours?!!

D’ici une demie-heure il déboulera dans la chambre pour me forcer à m’habiller, si on peut qualifier cela d’habiller et sans prendre la peine d’éviter de réveiller mon client dans la chambre où j’ai dormi, il me fera sortir en pestant contre la paresse des catins de la taverne et du flegme de la patronne. Des paroles en l’air. Mais maintenant qui passe plus de la moitié de la nuit à travailler et qui va se coucher juste après le souper, le corps crasseux imbibé d’alcool? La peste soit de lui! Je n’aurai pas grand chose à faire ce matin. Comme si tous ses bougres se levaient aux premières aurores pour aller déjeuner. Je pourrais assassiner dans leur sommeil la plupart de ses «terreur des océans» sans même qu’ils ne s’éveillent!
Je m’appelle Émilie Thunderr, mais ici on m’appel L’Émilia ou la catin. Personne ne connaît mon nom de famille et ça n’intéresse personne. Pas plus que de savoir d’où je viens. C’est pour ça que j’écris, maintenant, à cette heure du matin, au lieu de profiter de ma dernière demie-heure de sommeil avant une nouvelle journée interminable. Peut-être que tout le monde se fiche de mon histoire, mais L’Émilia a besoin de la raconter à quelqu’un et si ce quelqu’un doit être un stupide bout de papier, ce sera au moins ça.
Je ne suis pas née ici, sur cette île. Je ne suis pas une fille de catin qui a reprit vaillamment le métier de sa mère parce qu’elle n’avait pas d’autres opportunités de vie. J’étais Émilie Thunderr, fille d’un riche marchand, charmante, brillante et fiancée, à 15 ans, à un jeune garçon de 16. J’avais l’espoir d’une belle petite vie tranquille et plaisante. L’argent de mon père et son commerce m’aurait permit de vivre confortablement toute mon existence. J’avais tout, même mon fiancé me plaisait bien. Il était plutôt prude et timide, mais ne l’étais-je pas aussi?
Toute demoiselle aillant eut facilement tout ce qu’elle pouvait avoir dans la vie, rêve de nouveau! J’avais envie de voyager, écumer les mers en compagnie d’un robuste gaillard (j’avais une image un peu sotte des pirates… ils ne sont pas tous si robuste après une soirée à se noyer de rhum). Je voulais partir, alors je trouvais moyen de le faire. Mon père était un marchand, mais un marchand terrestre. Il ne quittait pas les terres du roi depuis qu’il était prospère, trop craintif de la mer. Un jour pourtant il dut se résoudre à quitter le confort de la demeure familiale pour retrouver la mer. Ses navires se perdaient en mer sous les coups des pirates et craignant un jour la faillite, il décida de partir voir par ses propres yeux de quoi il en retournait. Convaincre mon père de m’emmener avec lui? Il n’aurait jamais voulut! Sa fille qui se promène sur l’océan et qui pourrait être la cible des pirates! Quel terrible malheur. C’est vers mon jeune fiancé que je me tournai. Il était de ceux qui embarqueraient avec mon père sur le navire marchand, quelques moues attristées et regards ardents et le pauvre me déguisait en matelot novice et m’aidait à embarquer sur le bateau de mon père.
J’étais malade jour après jour et je maudissais les livres romantiques qui parlaient de la mer. Le vent, le gout du sel marin, les dauphins... La fiente d’oiseau, la pourriture de la nourriture et les beuveries des matelots plutôt!
Je commençait presque à prendre plaisir à cette vie après un mois de voyage. Une fois le mal de mer passé, je me plains mais il y avait un certain agrément au vent qui fouette le visage et au repos bien mérité après une journée d’ouvrage! Il me manquait seulement mon rude gaillard. J’avais mon fiancé à la place et ça faisait bien l’affaire sur le moment. J’arriverais bien a en faire un homme mature un jour!
Je n’eus pas cette occasion. Mon joli rêve s’écroula quand un bateau de pirate se pointa à l’horizon. Ne me demander pas lequel, je n’ai pas chercher à savoir. Je veux me garder dans l’ignorance de ce détail jusqu’à la fin de mes jours. Quoi qu’il en soit, je fus rapidement pousser vers l’intérieur par mon fiancé qui voulait me protéger de la bataille. Au moins, me dis-je parfois, je serais morte avant que l’on découvre ma féminité. Il n’est pas interdit d’être femme sur un bateau, lorsque vous savez garder les hommes loin de vous. J’étais une fille de 15 ans qui avait la force physique d’un chaton. C’est pour cela que je m’étais déguisé en garçon. L’imaginaire de mes compagnons de mer de ce que j’avais sous mes vêtements les rendaient alors moins pressé à mon égard.
Avoir les seins bander et oppresser ça trompe un matelot, pas de sales pirates qui savent reconnaître une femme quand ils en voie une (remarquez, par exemple, que c’est seulement quand il n’ont pas trop de rhum dans le nez…évidemment). Je ne sais pas ce qui arriva de mon père ou de mon fiancé. Je me souviens vaguement de ce qui m’arriva, mais je passerai outre. Je ne me souviens d’aucun visage, heureusement car si je les voyais passer par ici aujourd’hui, j’en connais qui se prendrait un joli couteau dans la nuque. J’aime mieux ne pas voir, ne pas reconnaître la lueur carnassière d’un regard qui aurait participé à la destruction de ma vie. Disons seulement alors que j’étais la seule femme des environs et que l’équipage pirates étaient constitué de pirates depuis trop longtemps en mer. Je peux vous parler des étreintes trop douces de mon fiancé et de ses mains timides qui caressaient mon corps. Je peux vous parler de la manière rude qu’on les clients de me prendre quand ils en ont assez que je fasse mine de me dérober à eux, de leur poigne trop forte qui me donne des bleus, mais qui paie au moins. Je ne suis pas gênée de tout cela. Mais de cela je ne parle pas. C’est différent. C’est dégoutant.
Je me souviens que l’on ma débarqué ici. Sur l’île de la perdition. Je me demandais comment cela se faisait que je ne sois pas morte, mais c’était un fait. J’étais vivante
Je me suis plains de l’endroit. Je ne devrais pas. Je ne suis pas vraiment malheureuse ici. On m’a accueillit alors que j’avais plus l’air d’un cadavre ambulant qu’autre chose et on m’a laisser prendre un temps pour accepter ce que je devais devenir. Je n’avais pas le choix, mais on m’a donné une chance. La patronne est pas le symbole même de l’infini patience et m’a un peu bousculé pour que je fasse plaisir à ses clients. Il fallait que je paye ma croute.
Je me suis fait un nom ici. Peut-être pas celui que j’aurais cru avoir à l’époque, mais aujourd’hui je suis vivante et j’ai presque l’équivalent d’une famille…
Je rêve parfois de la jeune fille stupide que j’ai été et j’aimerais lui dire de ne jamais prendre se bateau. Mais il est trop tard pour ça.
Je dois descendre. Le tavernier s’impatiente…


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À l'abordage! MDR!


Dernière édition par Émilia Thunderr le Lun 25 Jan - 7:06, édité 2 fois
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Sergeï Flerick
Capitaine de La Rose Blanche
Sergeï Flerick


Messages : 57
Date d'inscription : 24/06/2009

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MessageSujet: Re: Émilia, dite "La ptite mégère"   Émilia, dite "La ptite mégère" Icon_minitimeSam 11 Juil - 20:29

Bienvenue à toi! hihi (encore une rousse)

Tu es bien évidemment accepté ma douce mégère! Wink
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Émilia, dite "La ptite mégère"
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