Pirate's Land
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 Ywen Märb

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Ywen Märb
Capitaine de l'Amazone
Ywen Märb


Messages : 12
Date d'inscription : 20/07/2009

Ywen Märb Empty
MessageSujet: Ywen Märb   Ywen Märb Icon_minitimeLun 20 Juil - 21:48

Nom: Märb
Prénom: Ywen
Surnom: Vous m’en trouverez bien un.
Âge: 28 ans
A quel groupe appartenez-vous?: Corsaire
Travail: Capitaine, Corsaire et Féministe... Elle tape des pirates et protègent les marchands qui le souhaite.
Si vous êtes Capitaine, quel est le nom de votre navire? L'Amazone

Caractère: Déterminée à ne pas s’en laisser imposer et à montrer qu'une femme peut faire aussi bien qu'un homme, même mieux, elle se révèle être une femme très combative et fière. Elle a tendance à être très dure, surtout pour elle-même et si elle ne choisi que des femmes pour faire partie de son équipage, il n'en reste pas moins qu'elle attend de ses femmes, autant qu'un autre capitaine en attendrait de ses hommes. Elle assume sa féminité pleinement et considère pouvoir être mère et corsaire à la fois, ne cherchant pas à empêcher l'un et l'autre. Elle a un grand besoin de liberté et est intolérante aux individus misogynes. Orgueilleuse, Fière, elle est capable de remuer ciel et terre pour faire ravaler sa langue à quelqu'un qui la considère comme une étant "juste une femme". Elle se bat, d'un sens, pour l'égalité des sexes, mais ne croyez pas rencontrer une femme qui ne s'épile pas et ne porte pas de soutien-seins pour la cause! L'égalité est au point de vue de la liberté qu'elle considère comme la chose la plus importante. Elle a de la classe et connaît les principes de politesse et l'étiquette. Elle ne crache pas sur le pont et ne pet pas devant les autres en rigolant de manière rustique. Ça ne l'empêche pas de tenir une arme entre ses mains et de découdre les pirates comme n'importe quel corsaire. Elle n'aime pas qu'on lui parle de son père, qui fut célèbre de son vivant et n'éprouve pas de fierté à lui ressembler ou non, elle ne peut lui pardonner vraiment l'abandon, malgré qu'il lui aille permis cette vie qu'elle a aujourd'hui.
Physique: Ywen est finement musclé, alliant ses formes féminines et sa grâce à un aplomb et une fermeté musculaire de marin. Alliage qui n'est pas sans charme et sait déconcentrer un homme en plein combat. Elle a le visage sévère et droit, témoignant de sa fierté et jamais ses yeux sombres ne se baissent face à un autre regard. L'éclat de ses sourires, pourtant, dévoile une douceur et une tendresse à l'égard de ceux et celles qui lui sont cher. Elle s'habille avec élégance, comme une bourgeoise excentrique, mais profite aussi du côté pratique d'un vêtement, en ne portant jamais de robe ou de jupe qui lui emmêlerait les pattes. S'il y a un certain excentrique dans ses vêtements ce n'est pas tant sur le tape à l'oeil et les couleurs vives, mais plutôt sur le choix de tissus riches, comme la soie, sans se préoccuper de la mode des corsaire. Elle apparaît à la fois comme une personne élégante, voire distinguée, mais peut tout aussi bien faire preuve d'agilité et de force dans un même geste. Ça double nature que lui vaut son passé d'avoir été femme et d'avoir été marin, la rende fascinante et déstabilisante.

Signes particuliers:-

Armes: Un sabre et deux pistolets à silex

Histoire: J’étais faite pour la mer et la liberté, c’était dans mon sang. Mes poumons étaient fais pour s’emplir de l’air salin du large et mes pieds pour suivre le rythme des vagues qui frappent les navires. Mon père était Corsaire, comme le fut son propre père. Un homme solide sur l’océan qui se mettait à tanguer dès qu’il se trouvait sur la terre ferme. Il n’aimait rien d’autre que la mer et je ne crois pas mentir si je dis qu’il se préoccupait bien peut de trouver une terre stable où les gens pourraient vivre. Il était un excellent capitaine, car il savait mater la mer mieux qu’il l’aurait fait pour une femme.
J’ignore pourquoi il épousa ma mère. Je ne doute pas qu’elle fut une femme intéressante, mais il n’était pas le genre d’homme à s’éprendre de quelqu’un. La question ne m’intéressa jamais vraiment et il ne me surprendrait pas que ce ne fut que pour avoir un héritier. Quoi qu’il en soit, l’homme peut à l’aise de rester sur la terre ferme, n’y descendit plus que pour assurer que son mariage serait une réussite: qu’il aille un fils. Il fallut six ans à ma mère pour que son corps accepte de porter un enfant suffisamment longtemps pour qu’il survivre. Il ne me le dit jamais, mais je crois que je ne fus pas ce qu’avait espéré mon père. Ma mère lutta pour survivre à cet accouchement qui avait ruinée son corps jusqu’au retour de mon père. Elle s’effondra, épuisée, lorsqu’il m’eut prit dans ses bras, et ne se releva jamais.
Mon père me mit au couvent les cinq premières années de ma vie. Il venait me voir plus souvent qu’il ne l’avait fait pour ma mère, même si ses visites étaient trop rare. Je me souviens avoir été malheureuse, hurler de vouloir voir mon père. Il ne pouvait pas rester. La terre le rendait malheureux sans que je ne sache jamais pourquoi. Lorsque j’avais cinq ans, donc, on prit mon père à part et on lui affirma que j’avais besoin d’une mère et que je ne me plairais jamais où j’étais. Mon père se mit en colère. Il ne voulait pas d’autres épouses, il n’avait pas que cela à faire. Dans cet éclat de frustration, il m’emmena avec lui sur son navire. Ensuite, s’il voulut reculer, il était trop tard.
Je fus heureuse… la plupart du temps. Mon père me gardait près de lui et m’apprenait ce qu’il aurait apprit à un fils s’il en avait eut un. Il était fier quand je me montrais, selon lui, digne d’un homme. Il me méprisait quand je me montrais maladroite. J’avais le cœur lourd alors et je m’en voulais de ne pas être ce qu’il aurait souhaité. Mon père n’était pas un homme heureux et en vieillissant, j’appris à me tenir loin de lui dès qu’il approchait d’une bouteille de rhum et à me tenir comme il fallait en sa présence, en tout temps. Je l’admirais, mais j’ai aussi apprit à le haïr pour ce qu’il pouvait me dire. Que je valais rien. J’étais qu’une fille.
Un jour, de la même manière qu’il m’avait sortie du couvent, il me sortit de sa vie. Il était furieux, je ne sais plus très bien pourquoi et en accostant, il déclara qu’il était temps de me marier. Il me porta à un nouveau couvent, le plus près, paya les femmes pour qu’elles m’apprennent à en être une et m’envoya une brève missive, un an plus tard, pour me dire qu’il m’avait trouvé un fiancé et que ce dernier viendrait me chercher au couvent à sa prochaine escale.
J’étais plongé dans un monde que je ne connaissais pas. Celui que ma mère avait vécu avant moi et auquel elle n’avait pas survécue. Je fus mariée à un corsaire qui du venir à peine plus souvent que mon père l’avait fait pour ma mère. Ce fut aussi sec que cela. Il débarqua un matin, vint me chercher et nous fûmes marier l’après-midi même. Il resta une semaine dans la maison qu’il «nous» avait acheté, avant de repartir en mer, comme tout bon corsaire qu’il était. Ma vie demain un enfer. Mon mari était reconnu parmi les nobles gens et je devais me présenter à des réceptions, comme une bonne épouse, seule, apprendre à bien me tenir, attendre que mon mari revienne ou qu’une lettre m’affirme qu’il était mort, attendre de tomber ensceinte, espérer pour mon époux qu’il soit un mâle, espéré secrètement de ne lui donner que des filles par vengeance, espérer qu’il meurt, espérer quitter cet endroit, espérer que mon père revienne me chercher et m’emmène comme lorsque j’avais 5 ans. Les années passèrent. J’eus deux filles, pour mon plus grand bonheur, mon mariage ne durera que 4 ans, car mon corsaire de mari ce fit bêtement tuer. J’ai pleuré, pas parce qu’il était mort, mais parce qu’il me laissait, seule, avec deux fillettes sur les bras. Je fus tenté de les mettre au couvent et de partir, mais je n’aurais pu aller nul part et je n'avais pas très bon souvenir de ma propre expérience là-bas. J’avais 22 ans, lorsque je reçue une lettre officielle. Le testament de mon père indiquait qu’il me laissait son navire et que je pouvais en faire ce que je voudrais.
J’avais déjà vécu 10 ans sur un bateau, mais 7 ans c’était écoulé depuis. Je ne pouvais me présenter comme capitaine devant tous ses hommes et prétendre que j'en savait plus qu'eux. Je les renvoyai tous, gardant seulement le bateau de mon père et ne résolue que deux ans plus tard de ce que je devais en faire. Avec la fortune de mon défunt mari et de mon père, j'avais tout le temps de penser en élevant mes filles. Il y a quatre ans de cela, donc, je me décidai à retourner vers la mer et à me faire corsaire, mettant mon bateau au profit de la justice, comme l'avait fait mon père. Je saurais me montrer digne de mon sang et au fond de moi j'essaie de croire que c'est parce que mon père éprouvait une fierté à mon égard qu'il me légua son bateau. Mais il est plus probable que ce fut parce qu'il n'avait personne d'autre à qui le léguer.
Je me mit en quête de trouver un équipage. Un équipage de femmes, qui partageraient mon besoin de prouver que nous pouvons être aussi fière qu'un homme, nous battre pour une patrie et mourir au combat avec dignité. Croyez-vous que j'eus du mal? Il me fut d'une facilité surprenante de trouver des files prêtes à prendre le large, comme si elles avaient attendent toutes leur vie pour partir. Ne nous faisons pas d'histoire, je connaissais la navigation et prit avec moi quelques gens capable de m'aider et me réapprendre ce que j'avais oubliée. En même temps, toutes ses filles n'étaient pas des combattantes. Il fallait leur apprendre. Nous étions minable. Minable comme une bande de gamin qui n'a jamais prit la mer. J'avais l'argent et le temps et des filles qui ont tous perdues ou n'ont jamais rien eut se révèlent de féroces combattantes qui apprennent plus vite qu'on le le croit.
Aujourd'hui, nous avons gagné notre réputation. Que le roi prenne le risque de nous dire qu'il n'a pas besoin de nos loyaux services et il saura ce qu'une femme a dans les trippes. L'Amazone n'est pas le plus connu des navires, je m'enorgueillit pourtant qu'il commence à le devenir. Mes deux filles sont près de moi, pour rien au monde je les aurais laissé dans un couvent.

Autres: (note: ses filles ont respectivement 12 (Amarine) et 10 ans (Laureen) et sont mousses sur le navire)

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