Nom: Märb
Prénom: Laureen
Surnom:Lau (parce que "Lolo" c'est déjà prit) "ptite peste revient ici"
A quel groupe appartenez-vous?: Corsaire
Travail: Mousse sur l'Amazone
Caractère: Laureen n'a jamais connu le mal de mer, fille de deux corsaires elle a toujours eut le pied marin. Bien que la vue des morts la trouble encore, autant que cela la fascine, elle est de nature curieuse et n'est pas une couarde. Elle n'en ai pas à vouloir sortir de la cabine durant les combats pour aller découdre des pirates, mais c'est seulement la peur de la mort qui la retient encore. Sinon elle n'a pas froid aux yeux. Il n'est pas rare de voir la fillette descendre dans la cale et aller bavarder aux pirates prisonniers, sous surveillance, évidemment... quand on la prend à descendre à la cale du moins. Elle est très bavarde et adore les gens. Espiègle à souhait, elle n'a jamais été très sérieuse et apprendre "ce qu'une femme doit savoir, corsaire ou non" l'ennui pour mourir. Elle fait souvent des bêtises, à peu près sans conséquence et à un talent innée pour pleurer à volonté quand il le faut, ce qui a toujours le don de désamorcer la colère de sa mère. Elle n'aime pas désobéir à sa mère, mais ses souvent plus fort qu'elle, quand elle a envie de jouer un tour ou qu'elle préfère aller écouter les histoires de corsaires sur le pont alors qu'elle devrait dormir. Elle suit sa soeur dans tout et à un tempérament fonceur, en général, qui laisse présagé qu'elle ne prendra pas beaucoup de temps après sa soeur pour faire pareil et sortir de la cabine pour faire des croques en jambe aux pirates et leur mettre du poil à gratter dans les pantalons. Elle aime jouer et taquiner les gens. Si elle n'aime pas les études, elle n'en ai pas moins très brillante et en connait très long sur beaucoup de chose. (elle a malheureusement tendance à retenir plus facilement ce que lui raconte les pirates, que ce que lui raconte les bouquins de géographie) Malgré ses bêtises, il n'en demeure pas moins que le coeur de Laureen est immense et que ses gestes n'ont jamais rien de méchants.
Physique: Comme une ultime provocation à son mari, en plus de ne donner naissance qu'à deux filles, Ywen semble avoir donner à ses deux filles ses traits, sans laisser de trace de leur paternel sur leur visage. Ses cheveux sont plus sombre que ceux de sa soeur, mais la même couleur noisette éclaire ses yeux rieurs. Plus petite qu'Amarine, il est pourtant évident qu'elles ont été faite dans le même moule et d'ici quelques mois elle aura certaine une poussée de croissance qui la fera rejoindre sa soeur. Pour l'instant elle a encore l'air d'une enfant, les joues ronde, un corps dépourvue des formes féminines d'une femme, elle a l'air d'un petit lutin espiègle qui disparait au tournant d'un corridor quelques seconde avant qu'un tas de casserole tombe dans la cuisine et que la cuisinière sorte en hurlant "LAUREEEN!" Elle est adorable et son sourire charmeur de gamine ne laisse personne indifférent. Avec son petit air d'ange, elle optient ce qu'elle veut, mais tout le monde à bord de l'amazone, sait que deux petites cornes se cache dans sa chevelure sombre.
Signes particuliers:
Armes: un couteau et le pistolet à silex que sa mère lui laisse, mais elle a encore besoin de ses deux mains pour arriver à tirer un coup avec
Histoire: Lorsque Laureen est née, le deuxième bonheur dans la vie d'Ywen, son père n'avait pas même jeté un regard à l'enfant. La frustration d'avoir encore une fille et le sentiment d'humiliation qui le tenait faillit le rendre aveugle de rage au point de le faire payer à son épouse. Il voyait bien dans le regard de cette jeune femme la lueur de défi qu'elle lui lançait, pour cacher sa propre colère de le voir déçu, alors que Amarine et Laureen était alors la seule chose qui pouvait la rendre fière en ce monde et donner un sens à son existence. Il était parti le soir même et n'était revenu que quelques mois plus tard pour lui faire payer son affront et essayer une troisième fois de faire plier ce démon qui refusait de lui donner un fils. Ce serait encore un échec, aucun garçon ne s'agripperait au ventre d'Ywen et il ne revint jamais.
Que son père n'avait jamais même voulut regarder Laureen, Ywen n'en avait jamais parlé. Il avait fait l'effort de poser son regard sur sa première fille et lui avait peut-être adresser quelques mots, sans la moindre affection dans la voix, mais Laureen était un affront de trop dans leur mariage et la mère préférait garder le bébé loin de son mari les deux fois qu'il passa encore les voir.
Laureen grandit donc sans jamais connaître son père, lorsqu’il mourut avant même qu’elle aille conscience de son existence. Elle ne sembla jamais vraiment souffrir du manque d’une figure paternel, aillant sa mère et sa grande sœur pour veiller sur elle. Même avant d’embarquer sur l’amazone pour la première fois, la fillette avait déjà un tempérament qui l’aurait tôt ou tard poussé à vers l’océan. Si les étude qu’elle entama toute jeune l’ennuyait et qu’elle ne se gênait pas pour s’endormir à la figure de son précepteur ou se sauver dès qu’il tournait le dos, ses yeux brillaient d’excitation lorsque quelqu’un entamait un récit d’aventure et rien ne l’amusait plus que de jouer au corsaire et au pirate. À peine avait-elle apprit à parler qu’elle abusait déjà de se pouvoir de la parole pour se faire entendre de tous et poser trop de question à tout le monde.
Lorsque sa vie fut chamboulée, le jour où sa mère les conduisit elle et Amarine, sur l’Amazone pour la première fois, on l’a perdit en moins de cinq minutes dans le navire. Il était impossible d’attraper la fillette de 6 ans qui voulait visiter le fond de la cale et monter sur le grand hunier en moins de temps qu’il ne fallait pour hurler «LAUREEN!!!!!», comme sa mère ne se gêna pas pour le faire.
Fille de deux marins, elle avait évidemment le pied marin. Dans ce monde parfait pour elle, seule le contact de la mort la ralentit quelque peu. Elle n'arrivait pas à s'habituer à ses corps sans vie et au silence lourd qui pesait sur les cadavres, elle qui avait si soif de vie et qui ne tolérait pas le silence. Elle n'aimait pas être enfermée dans cette pièce, sachant ce qui en serait lorsqu'elle en sortirait. Dans ses jeux, lorsqu'elle tuait sa soeur, qui jouait le pirate ou le corsaire dépendant des jours, elle se relevait toujours. Ses dames avec qui elle parlait sans arrêt durant des jours disparaissaient dans l'océan et elle ne les revoyait plus jamais.
L'arrivée de Nathan sur le navire, fut son premier réel contact avec un membre du sexe opposé. Elle s'attacha rapidement, comme elle s'attachait à tout le monde, sauf qu'il eut doublement plus d'attention que n'importe qui d'autre parce "qu'il était pas comme les autres corsaires" et puis "pourquoi il avait le droit de se promener sans chemise et pas elle?". "C'est parce qu'il est un pirate qu'il est pas comme maman et les autres". Faute de ne jamais avoir de père, Laureen hérita d'un frère que ses yeux brillants ne pouvait s'empêcher d'admirer et bombarder de question.
Vieillissant tranquillement, Laureen supporte toujours mal la vue des cadavres sur le pont, mais après une mémorable journée où elle s'aventura dans la cale où était emprisonné quelques pirates qui s'était rendu à l'Amazone, le contact avec les pirates, bien que sa mère n'aima pas la savoir discuter avec eux, alors là pas du tout!, elle apprit tranquillement à calmer son esprit et si la plupart de ses hommes puants la charogne était peu bavard au départ, elle avait un don pour engager la conversation avec eux, sa curiosité étant insatiable. Tout les pirates ne lui on pas apprit quelque chose, mais parfois quelques phrases franches et directes lui en apprenait plus sur le monde que les histoires de corsaires qu'elle était habituée d'entendre et que les femmes lui servaient.
Autres:Fille d'Ywen Märb, Soeur d'Amarine Märb
[À l'Abordage!]
Mar 12 Jan - 19:11
